Les personnes atteintes de troubles psychiques, tels que la schizophrénie ou la bipolarité, peuvent demander la reconnaissance de leur pathologie en tant que handicap. La MDPH ne se prononce pas directement sur le diagnostic, mais sur l’impact de cette pathologie sur la vie quotidienne. Pour en savoir plus sur la reconnaissance des pathologies par la MDPH, consultez notre page sur la reconnaissance des pathologies par la MDPH.
Le rôle de la MDPH est d’évaluer le retentissement des troubles psychiques sur la vie personnelle et professionnelle de la personne concernée. Elle établit ensuite un taux d’incapacité basé sur cette évaluation. Découvrez comment la MDPH évalue le handicap psychique en consultant notre article sur l’évaluation du handicap psychique par la MDPH.
Les personnes souffrant de troubles psychiques tels que la schizophrénie ou la bipolarité peuvent être éligibles à l’AAH, à condition de remplir les critères médicaux et administratifs. Pour plus de détails sur l’obtention de l’AAH pour des maladies mentales, consultez notre page dédiée sur l’AAH pour les troubles psychiques.
En cas de refus de l’AAH, il est possible de contester la décision auprès de la MDPH en engageant un RAPO (Recours Administratif Préalable Obligatoire) ou un recours contentieux devant le tribunal administratif. Pour plus d’informations sur les recours possibles, consultez notre article sur les recours en cas de refus de l’AAH.
Il est souvent utile de se faire accompagner par un avocat spécialisé pour les démarches auprès de la MDPH, notamment pour contester une décision de refus. Découvrez comment un avocat peut vous aider en consultant notre article sur l’importance de l’assistance d’un avocat spécialisé MDPH.